La supervision de coach, un acte déontologique de tout coach
Tout coach, certifié ou autodidacte, se doit de respecter un code de déontologie et, à ce titre, doit être supervisé de manière continue et régulière. De nombreuses entreprises et collectivités ont compris l’importance de la supervision et l’impose dans leurs appels à projets.
Le coach occupe de nombreux rôles dans sa pratique. Dans son processus, il est à la fois extérieur au système de l’organisation qui l’emploie, intervenant ponctuel et neutre. Mais il est aussi nécessairement proche de ses coachés et de ce même système à mesure qu’il travaille l’alliance avec ceux-ci ou encore après plusieurs missions réalisées à la demande du client.
Cette double place dynamique, marginale sécante, implique de pouvoir se raccrocher à des règles intangibles portées par l’éthique et la déontologie au fil de missions qui mettent à rude épreuve ces mêmes règles.
Comment adopter la bonne posture, rester à sa juste place, tout au long des années et des différents coachings réalisés ?
La singularité d’un superviseur et de son parcours
La supervision offre cet espace pour travailler, séance après séance, année après année les remises en question dont le coach se servira pour développer sa technicité, sa posture, son style, son expertise.
Frédéric Bretton, coach depuis 12 ans et formé chez IDSUP, anime des séances individuelles et collectives de supervision de coachs. Chaque professionnel pourra y trouver des réponses et des remises en question sur différents angles de sa pratique :
- Des questions didactiques
- Des mises en question de sujet éthiques
- Le perfectionnement de son geste professionnel
- Le développement de sa singularité de coach
La spécificité d’une approche confrontante et bienveillante
Comme tout coach, le superviseur met en place des séances de supervision en s’appuyant sur sa propre singularité, son parcours et une vision de la supervision.
Le parcours de Frédéric Bretton dans l’industrie comme analyste qualité puis dans le secteur de l’insertion a développé dans sa pratique de superviseur une capacité à questionner autant la singularité des coachs qu’il accompagne que la systémie et les processus des situations présentées en séance
Quel cadre de référence ?
Son cadre de référence, l’Analyse Transactionnelle ainsi que sa formation de superviseur lui ont permis de développer un style de supervision basé sur la confrontation bienveillante, la recherche et l’étude des processus parallèles, leurs impacts systémiques. Formé à la Théorie des Organisations de Berne (T.O.B.), l’aspect culturel et interculturel des situations rencontrées est aussi décrypté et analysé dans ses supervisions.
Deux modes de supervisions possibles, en présentiel ou à distance :
- Supervision collective
- Supervision individuelle
La supervision est l’espace ressource de tout coach, il vous est ouvert, il vous suffit de nous écrire.